L'Office de Tourisme du Pays de Trie et du Magnoac
 
  • Population : 1806 : 464 hab., 1946 : 192 hab., 1999 : 113 hab., 2007 : 94 hab., 2017 : 115 hab.
  • Superficie : 525 hectares.
  • Altitude : 320 mètres.
  • Coordonnées GPS : 43° 16′ 53″ nord, 0° 18′ 52″ est
  • Nom occitan : Vielambit.
  • Etymologie du nom du village : Du latin villa (= ville) et ambitus (= rempart).
  • Sobriquet des habitants : Los porcatèrs « les éleveurs de porcs ». (voir blason)

VILLEMBITS EN PHOTOS son église, ses points de vue, l’ancienne école d’agriculture…

 

Patrimoine en bref …

Mairie

  • Historique administratif : Pays et sénéchaussée de Bigorre.  Quarteron de Rabastens.  Canton de Trie depuis 1790.
  • Saint Patron : SAINT LAURENT, 10 août. Patron de Rome, des libraires, des rôtisseurs, traiteurs et cuisiniers.

 

Eglise

 

  • L’église de Villembits a été reconstruite au siècle dernier. Cependant le cadastre de 1826 montre que l’église précédente était bâtie au même endroit.(1)
  • Château entre 2 sections le bout-de-la-côte et le pied-du-village. Longtemps possédé par la famille de Soréac, le château de Villembits se présentait sur une grosse motte circulaire entourée d’un fossé qui portait encore il y a cent ans, un manoir classique du 18° siècle.  Acheté par le sénateur Jean Dupuy, il devint en 1894 une école d’agriculture. Seuls demeurent aujourd’hui les bâtiments d’exploitation. (2)
  • Jean Védère signale dans « Blasons et Armoiries Haut Pyrénéen » qu’il y aurait eu un château au Nord du village, sur un coteau appelé tuco de la Garle … (1)
  • Chemin de César
  • Fontaine

 

Blason : « D’azur à la tour d’argent. » Ecu certainement lié à la présence d’un château au passé riche et trouble à la fois. En 1887, l’instituteur du village remarque que «  [ le château ] est une construction carrée entourée de fossés et munie de deux ponts-levis. Le second a disparu. Le seigneur de Villembits était souvent en guerre avec le seigneur de Mauvezin. Le château du premier fut incendié dans une de ces guerres. Il ne fut reconstruit qu’en 1768 par monsieur de Montgardin. Anecdote : En 1850, Alcide Curie-Seimbres fait une visite du site: «  Madame de Solirène me fait visiter une dépression de terrain, au couchant du château. On y creusa en 1828 et on trouva une grande quantité de squelettes humains, une pièce de monnaie de Philippe le Bel, des mors de chevaux et du grain brûlé en quantité. Il paraît qu’il y avait là une tour dont les fondements subsistent encore. Les ossements étaient d’hommes, de femmes et d’enfants; peut-être durent-ils être étouffés dans un incendie lors des guerres féodales ».

 

 

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