Paisible village dans les coteaux verdoyants du Magnoac. Une motte féodale est présente sur la commune.
Quelques personnes parlent encore des ruines, derniers vestiges d’une superbe tour faisant partie d’un château rebâtit par Paul de Labarthe, seigneur du lieu. Ces vielles murailles d’une hauteur prodigieuse se dressaient, encore à la fin du XIXe siècle, imposantes et majestueuses, suscitant admiration et curiosité. Après avoir résisté pendant 400 ans aux effets du temps, ces vieilles murailles s’écroulèrent vers 1888 et il ne reste aujourd’hui que quelques vestiges souterrains situés près de la Maison du Patrimoine.
Cette tour faisait partie d’un château dont la reconstruction avait été commencée par Paul de Labarthe à son retour des guerres d’Italie. Ce château ne fut jamais terminé.
Très beau panorama depuis le parvis de l’église et la sculpture du blason réalisé par Christine Close. Elle placée entre l’église et la maison du patrimoine.
L’église Saint-Barthélémy, gothique du XVIe, présente à l’intérieur un retable classé du XVIIe. Chevet plat, nef de 3 travées, clefs de voûte armoriées, portail au riche décor sculpté, bénitier Renaissance.
La chapelle St-Roch. Juste avant le village.
Ce village signifie limite, frontière (du Magnoac face au Comminges). Ce village n’a jamais eu d’eaux curatives ici, mais une erreur d’écriture orthographique en 1919.