L'Office de Tourisme du Pays de Trie et du Magnoac
 

Rallye village 7

Village de 300 habitants à la riche histoire (il y avait 1200 habitants, il y a deux siècles!), …….. tire son nom de «Bona hont» (bonne fontaine).

Le sobriquet des habitants « Los Putanèrs » : coureurs de jupons .

Le château de ……………. était la propriété de Louis Henri de Pardaillan de Gondrin, marquis de Montespan.

Le 28 janvier 1663, il épouse la très belle Françoise-Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, après plusieurs années d’idylle et 2 enfants, (chaussée Marie Christine, morte à 12 ans, et Louis-Antoine, marquis et futur duc d’Antin, Louis XIV nomme une chaussée de Paris à son nom, c’est la d’Antin), elle devient une des dames d’honneur de Marie-Thérèse, épouse de Louis XIV.
Celui-ci en tombe très amoureux et en fait sa maîtresse en 1666 ; c’est « La Montespan ».

Son mari se retire désespéré dans son château et est resté célèbre en refusant tout ce que le roi lui offrait (une véritable fortune de 1 million de livres, puis un titre de duc). Il porte des attaques répétées contre le roi (il s’est présenté un jour devant lui et l’a insulté, ce qui lui a valu un emprisonnement, puis l’exil dans ses terres) et des moqueries (il avait organisé à dans son village « l’enterrement de son amour », avec tous les rites funéraires, dont une messe à l’église du village ; il avait également peint son carrosse en noir et l’avait orné à chaque coin du toit d’immenses bois de cerf, qu’il avait également ajoutés à ses armoiries de marquis).

En 1691, Louis XIV envoie Madame de Montespan dans un couvent pour la remplacer par Madame de Maintenon, gouvernante des 7 enfants qu’il a eus avec La Montespan, elle supplie son mari de la reprendre, qui refuse malgré l’amour qu’il lui porte encore.
Il décède dans son village, où il est enterré, le 1er décembre 1691, resté inconsolable de l’abandon de sa femme bien-aimée (il signait toutes ses lettres  » Louis Henri de Pardaillan, marquis de Montespan, époux séparé quoiqu’inséparable »).
La Montespan décède le 27 mai 1707.

En 1915, le château devient un camp d’internement pour prisonniers allemands. Il est ensuite transformé en collège.

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Rallye village 6

Au XIVème siècle est fondée une bastide par le seigneur de Villembits, fondation qui échoue semble-t-il puisqu’on ne retrouve presque rien de cette bastide sur le terrain.

Le village est resté jusqu’à l’époque moderne dans la seigneurie des seigneurs de Villembits, qui ont été à l’origine du peuplement de ce territoire.

Église Saint-Barthélémy 17°-18°siècle possédant un retable classé au patrimoine des monuments historiques depuis le 5 septembre 1984 et des fresques du 16° siècle.

Sobriquet des habitants: « Los pleitejaires » :les plaideurs les chicaneurs.

 

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Rallye village 5

Ce village fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre.

En 1852, les communes de …. et de ……. ont fusionné en une seule pour donner …-………

Sobriquet des habitants :  «Carretèrs de Lube» : charretiers, «ventejaires  de Bèthmont» : ventileurs.

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Rallye Trie

Petite bastide du XIVe siècle, Trie/Baïse a été créée à l’époque dans un contexte d’essor démographique et d’affirmation du pouvoir royal. Fortement touchée par les affres de la guerre de Cent ans, elle subit de nombreux pillages de la part des armées anglaises et françaises avant de connaître un âge d’or dans le courant du XVe siècle. De nouveau touchée par les conflits des guerres de religion, la commune connaîtra par la suite des siècles difficiles.

Église du XVe siècle, Notre-Dame-des-Neiges doit son nom à un signe divin, selon la légende. Les premiers habitants de la bastide se seraient réunis au milieu du XIVe siècle pour décider du lieu de construction, et la neige se serait mise à tomber en plein mois d’août, de manière à faire apparaître une croix sur le sol. L’édifice religieux présente encore aujourd’hui un impressionnant clocher, ainsi qu’une flèche de type gothique flamboyant culminant à 60m de hauteur.

Fondé dans la seconde moitié du XIVe siècle, le monastère des Carmes fut victime d’un incendie à la fin du XVIe siècle. Seule l’église, toujours présente aujourd’hui, résista à l’événement. L’église, de style gothique méridional, accueille un centre d’activités culturelles depuis les années 1990.

En vous baladant dans la commune, ne manquez pas d’admirer les vestiges de fortifications encore visibles comme la Tour Ronde ou la Tour Carrée des XIVe et XVe siècles. La mairie mérite également le détour, imposant édifice Empire avec, au rez-de-chaussée, une halle aux extensions de type Baltard.

Sobriquet des habitants : « Los ahumats », les enfumés ou plutôt ceux qui sont enveloppés par les brouillards de la vallée. Ou « Los pèla-l’ardit ou Pilha-L’ardit », les pèleliard, ou pille liard, c’est à dire les usuriers « .

 

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Rallye village 4

Fondation de la bastide en 1322, paréage entre le seigneur local Bernard de Castelbajac et le sénéchal de Bigorre Jourdain de ………. au nom du roi de France.
……….. : Création de 1326. Suivant le partage des terres à la mort de Bernard de Castelbajac entre 2 branches de la maison. Le ruisseau de Lagelle trace la limite entre ……… (au sud) et .. … (au nord).

Anecdote : A la révolution, une tentative de fusion entre les 4 villages voisins (Luby, Betmont, …….. et ………) pour ne former qu’une seule commune qui se serait appelée Mont Républicain échoue. La fusion définitive des 2 sections date de 1842.

Château et Moulin de Janette (propriétés privées) furent élevé par Odet de Castelbajac entre 1460 et 1470.

Sobriquet des habitants : « escobassaires » : fabricants de balais.

Le long du mur du château, les propriétaires ont réalisé une superbe mosaïque (indiquée par la flèche rouge).

Il fallut plusieurs années (de 2000 à 2003) pour réaliser cette œuvre, qui se lit de droite à gauche (en partant de la Création du Monde).

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Rallye village 3

Ici en Bigorre, l’eau est omniprésente en tous lieux et sous toutes ses formes. Lacs et torrents luxuriants – qu’ils soient Gaves, Adour ou Nestes – sources et fontaines abondantes dans et hors de nos villages, rigoles et canaux en tous genres mais aussi plus de trois cents lavoirs anciens ou récents ! Les lavoirs font partie intégrante du petit patrimoine légué par nos ancêtres et sont les témoins d’une époque révolue. Ils sont une richesse communale qu’il faut entretenir et conserver comme les églises, les fontaines ou tout autre monument bâti. Les lavoirs étaient des espaces de vie, bruyants et animés, lieux de femmes… ils sont devenus lieux de mémoire, silencieux et reposants. Alors, tous ensemble, essayons de sauver ce petit patrimoine collectif témoin de notre jeunesse. Jean-François Delétang

Ce village serait très ancien. On a découvert de nombreux ossements et sépultures ainsi que des grottes (sous certaines maisons du bourg). Vers 675, un évêque écossais, Romanus, installait une abbaye (un pilier subsiste dans une grange) qui dépendait de l’abbaye d’Airvault.
L’église Saint-Romain est romane, vouée à Saint-Sylvain, dont on peut voir la statue. Le clocher est surmonté d’un campanile, unique dans la région, qui est classé monument historique. Devant l’église se trouve une pierre plate sur laquelle on posait les cercueils lors des sépultures, avec un anneau pour attacher les chevaux.
Il y avait alors deux paroisses qui ont été rattachée au 17e siècle.
Sobriquet des habitants : « Los devociòs » : les dévots. « Caça-moscas » : chasse-mouches.

Le retable est attribué au sculpteur Marc Ferrère, grâce au testament du curé Paul Abadie daté du 11 décembre 1726. Celui-ci déclare avoir commandé par police et payé à l’avance, sauf la somme de 250 livres, dont il indique sur quels créanciers le sculpteur doit la récupérer. Ce retable, en très bon état, occupe le fond droit d’une étroite abside. Il se compose donc d’un seul panneau, ce qui est assez rare pour le retable du maître-autel, à cette époque, et il se présente simplement comme l’encadrement d’un tableau central.

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Rallye village 2

Ce village fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre.

Sobriquet des habitants : « Los Anglés » : les Anglais .

Sur la route entre Castex (32) et cette commune vous pourrez voir un poulailler de 1900 classé (privé), qui avait  les fonctions de porcherie et de pigeonnier.

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Rallye village 1

Cette chapelle se trouve à une centaine de mètres de l’endroit où était le château dont elle avait du être la propriété.
La statue de saint-Roch aurait été sculptée dans un morceau de chêne ayant séjourné, selon la légende, plus de cent ans dans l’eau du ruisseau en contre bas de la chapelle.
Voici la légende qu’on raconte à ce sujet : Dans une circonstance malheureuse, disent les habitants du village, des gens maudits s’emparèrent de la statut de St Roch, la brisèrent et la traînèrent à coups de pieds au fond de la prairie d’Encausse. Quelque temps après arrive une peste qui désolait le pays. Tous les bestiaux mouraient, principalement les bêtes à cornes. On fit quelques remèdes, force invocations et des prières surtout ; mais rien n’arrêtait la peste. Enfin on attribua ce malheur à la vengeance de St Roch pour les mauvais traitements qu’on avait infligés à sa statue. Connaissant donc ou prétendant connaître la source du mal, on trouva de suite le remède : il s’agissait de calmer le courroux de St Roch le vindicatif. On alla en procession, en grandes pompes, au fond de la prairie Encausse, ramasser les divers débris de la statue mutilée et les porter fort respectueusement à la chapelle. Aussitôt la peste cessa.
Sobriquet des habitants : « La volurdalha » : engeance de voleurs.

Depuis la Chapelle profitez-en
pour admirer le point de vue !

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Chasse aux oeufs

L’Office de Tourisme du Pays de Trie et du Magnoac vous propose différentes « géocaches », afin de découvrir les lieux représentatifs de notre territoire.

Le géocaching est un loisir qui consiste à utiliser la technique du géopositionnement par satellite pour rechercher ou dissimuler des « caches » ou des « géocaches », dans divers endroits à travers le monde.

https://www.geocaching.com/play

 

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