L'Office de Tourisme du Pays de Trie et du Magnoac
 

Rallye village 14

Ce lac de barrage (digue de terre haute de 22 mètres et longue de 850 mètres) est bordé sur sa rive droite par un important massif forestier de plus de 200 ha de forêt de chênes, dont une quarantaine mitoyens du lac sont inclus dans la zone réserve par l’arrêté de biotope.
Puydarrieux est un lac d’irrigation de 220 hectares qui a été créé en 1987 par la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne.
Situé sur un couloir migratoire transpyrénéen, le lac s’est révélé très rapidement d’un intérêt majeur pour l’avifaune soit en étape migratoire avant de franchir les Pyrénées, soit comme site d’hivernage. Le lac accueille près de 200 espèces d’oiseaux dont les grues cendrées, avec des effectifs d’environ 2000 à 3000 chaque année.
Afin d’assurer la tranquillité de la faune, une zone de quiétude a été définie par arrêté préfectoral et matérialisée par des panneaux interdisant son accès. Dans celle-ci, la pratique de la randonnée est strictement interdite. Cette zone est surveillée par deux agents du Département.
Un sentier spécialement aménagé permet de découvrir le site à votre rythme. Il a été étudié pour limiter le dérangement et permettre ainsi de concilier les activités de loisirs et la préservation de la faune.

Réserve ornithologique de Puydarrieux Chemin de Campuzan 65220 Puydarrieux. Information 07 89 83 61 07.

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Rallye village 13

L’Église Saint-Jean-Baptiste reconnue comme gothique tardif du XVe siècle inscrit aux monuments historiques le 6 mars 1989.

Porte fortifiée. Ancien petit corps de logis qui était destiné à l’usage des gardiens de la ville, inscrit aux monuments historiques le 23 juin 1933.

Chapelle des Pénitents :
Son histoire est intimement liée à celle de Garaison. Sa construction remonte au début du XVIIème siècle, période qui vit s’installer la renommée de Garaison, à la suite des apparitions. En effet, bien que datant de 1515, les apparitions ne drainèrent les pèlerins vers le sanctuaire que 90 ans plus tard, sous l’impulsion de Pierre Geoffroy en 1605. Au nombre de ces pèlerins figuraient les pénitents blancs, exclusivement des laïcs repentants désireux de se réconcilier avec Dieu. Venant principalement de Toulouse, ils faisaient une halte dans cette chapelle sur le chemin de Garaison.
On trouve ici l’origine de son nom « chapelle des Pénitents ».

Chapelle Notre-Dame-de-Garaison est inscrite aux monuments historiques depuis le 8 février 1924.

Manoir de Garaison un ancien abri de pèlerins, est inscrit aux monuments historiques depuis le 12 juillet 1973.

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Rallye village 12

Une jeune fille de la commune, nommée Anglèze de Sagasan, avait affirmé avoir entendu la Vierge lui demander de construire une chapelle près de la source. Cela se passait en 1515. La chapelle a bien été construite et le sanctuaire qui  tient son nom de «Guérison» a été un lieu de dévotion, de pèlerinage et de tourisme religieux aux siècles suivants. C’est aujourd’hui une école, un collège et un lycée.

Histoire :
En 1515 : La Vierge Marie apparaît trois fois à la jeune bergère Anglèze de Sagazan. Le message est clair : « Ici, je répandrai mes dons », «Je veux que l’on construise une chapelle », « N’oubliez pas de remercier Dieu de ses bienfaits ».
En 1540 : Une chapelle a été construite à l’endroit précis de l’Apparition.
De 1600 à la Révolution Française : Sous l’impulsion de l’Évêque du lieu et des Missionnaires de l’Immaculée Conception, Garaison est un important centre de pèlerinage.
Après la Révolution : L’enseignement et l’éducation des enfants deviennent une priorité. Dès 1841 une école commence à fonctionner. Le Père Peydessus prend la direction de la Communauté et du collège. Son action sera originale pour l’époque : il crée des conseils de professeurs, des assemblées de communautés et des rencontres avec les élèves.
En 1903, le collège est fermé : Les religieux doivent partir… Pendant la Première Guerre mondiale, …….. sert de camp d’internement.
En 1923 : En 1923, les anciens élèves rachètent les bâtiments : les religieux peuvent revenir et le collège renaître.
En 2000 : un incendie ravage l’établissement scolaire. Les membres de la Congrégation, fidèles à leur mission, décident de restaurer entièrement les locaux.
Aujourd’hui : Dans un cadre modernisé et confortable, l’Institution compte 700 élèves de la Maternelle à la classe de Terminale.

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Rallye village 11

Paisible village dans les coteaux verdoyants du Magnoac. Une motte féodale est présente sur la commune.
Quelques personnes parlent encore des ruines, derniers vestiges d’une superbe tour faisant partie d’un château rebâtit par Paul de Labarthe, seigneur du lieu. Ces vielles murailles d’une hauteur prodigieuse se dressaient, encore à la fin du XIXe siècle, imposantes et majestueuses, suscitant admiration et curiosité. Après avoir résisté pendant 400 ans aux effets du temps, ces vieilles murailles s’écroulèrent vers 1888 et il ne reste aujourd’hui que quelques vestiges souterrains situés près de la Maison du Patrimoine.
Cette tour faisait partie d’un château dont la reconstruction avait été commencée par Paul de Labarthe à son retour des guerres d’Italie. Ce château ne fut jamais terminé.

Très beau panorama depuis le parvis de l’église et la sculpture du blason réalisé par Christine Close. Elle placée entre l’église et la maison du patrimoine.
L’église Saint-Barthélémy, gothique du XVIe, présente à l’intérieur un retable classé du XVIIe. Chevet plat, nef de 3 travées, clefs de voûte armoriées, portail au riche décor sculpté, bénitier Renaissance.
La chapelle St-Roch. Juste avant le village.

Ce village signifie limite, frontière (du Magnoac face au Comminges). Ce village n’a jamais eu d’eaux curatives ici, mais une erreur d’écriture orthographique en 1919.

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Rallye village 10

Le Magnoac (ancien domaine antique de Magnus) composait autrefois avec les Nestes, la Barousse et l’Aure le pays des Quatre-Vallées.

Sa capitale (de castellum novum : château neuf) s’est installée à son point culminant (385m.) avec un château édifié au XIIIe siècle par Sanche II. Ses maisons à colombages forment un ensemble pittoresque autour de la vaste place de l’Estelette, avec fontaine, monument aux morts et imposante halle.
Le bâtiment de l’ancienne école Sévigné est remarquable.
L’église collégiale de l’Assomption a été édifiée vers 1550 au cœur du bourg castral primitif. Sa tour-clocher comprend elle-aussi des colombages, ce qui est rare pour les églises de la région. La présence de meurtrières et de trous d’arquebuse lui donnait une fonction défensive. A l’intérieur, parmi les nombreux trésors, citons une borne milliaire antique transformée en bénitier et l’ancien orgue de Saint-Sever-de-Rustan, arrivé ici après une histoire mouvementée.
………-……. est réputé pour ses élevages de palmipèdes et ses produits du terroir. La culture principale est le maïs. Pour son irrigation, la Compagnie des Coteaux de Gascogne a réalisé en 2007 un vaste plan d’eau de 75 ha à l’ouest de la commune. Alimenté par la Gèze et bien intégré dans le paysage, il est apprécié et fréquenté par les promeneurs.
Un émouvant mémorial et un musée-café rendent hommage à une armée clandestine de la Résistance française qui harcela l’occupant nazi dans le grand sud-ouest, multipliant les actions spectaculaires et étant le premier régiment français à libérer Berlin : Le Corps franc Pommiès.

Le Corps Franc Pommiès, est une armée, clandestine à l’origine, révélée ensuite au grand jour, qui s’est illustrée durant la deuxième guerre mondiale. Elle était essentiellement composée de volontaires.
Le CFP est né à la suite de la dissolution, en 1942, de l’armée autorisée, en zone libre, par l’armistice du 22 juin 1940. Les cadres de cette armée se dispersèrent en emportant des armes et du matériel. Ils étaient principalement originaires des garnisons de Tarbes, Pau et Auch. Commença alors une période d’existence secrète, assortie de toutes les opérations traditionnelles de résistance.
e capitaine André Pommiès en prit le commandement sous le pseudonyme «Le Bordelais». De nombreux civils, notamment des jeunes, réfractaires au STO, le rejoignirent dans le maquis. Le CFP comptait huit mille hommes, tous volontaires, dont six mille étaient armés, les autres se consacrant à des opérations logistiques tout aussi nécessaires.
Le 10 février 1945, le CFP devint le 49èRI. ll avait défilé ouvertement à Toulouse le 3 septembre 1944. Il prit une part essentielle dans la libération du Sud­-Ouest. ll fut divisé en deux groupes. L’un prit la direction de la Pointe de Grave pour y combattre. L’autre, par le centre et l’est, alla jusqu’à Stuttgart. Il avait franchit le Rhin à Spire. Ses hauts faits de gloire, parmi tant d’autres, sont la victoire d’Autun (Saône et Loire), la libération de l’Alsace et la prise de Stuttgart. Du maquis à la victoire finale, cette héroïque aventure coûta la vie à cinq cent soixante-quatorze combattants du CFP-49èRI, leurs noms sont gravés dans la pierre du Mémorial National de Castelnau-Magnoac.
Ce régiment connut les honneurs de trois défilés prestigieux. Devant le général de Gaulle. le 8 mai 194, à Stuttgart; dans les rangs de la Première Armée Française, avec les chars du général Leclerc, à Paris, le 18 juin 1945; en compagnie des Alliés·, lors du défilé de la victoire, porte de Brandebourg, à Berlin, le 7 septembre 1945. Enfin témoignage supplémentaire d’estime et de reconnaissance, le CFP-49è RI fut le premier régiment français à tenir garnison dans Berlin occupée.

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Rallye village 9

……….. signifie « le sommet des ruisseaux », situé sur la crête séparant Baïse-Darrer et Baïsole, porta au 13° siècle, un château de pierre appartenant au Comte d’Astarac.

C’est un village à l’habitat dispersé au milieux de coteaux verdoyants et boisés. Parmi les curiosités, signalons les grottes de Tute des Escluats qui évoquent le souvenir de familles de pestiférés qui, ayant survécu à la maladie, furent obligées d’habiter dans ces cavernes jusqu’à la révolution.

Mais le centre d’intérêt de la commune est sans conteste le lac, retenue d’eau créée en 1987 par la CACG (Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne) et inaugurée par Dominique Baudis. Classé Natura 2000, le lac de ……….. est situé sur la Baïsole. Il est devenu une étape incontournable des amateurs de nature, d’oiseaux et de photos. Réserve naturelle, il est l’un des sites les plus importants pour la migration et l’hivernage des oiseaux d’eau en Midi-Pyrénées. S’il fait l’unanimité aujourd’hui, il y eut une grosse opposition à l’époque de sa création de la part des écologistes et des agriculteurs expropriés (220 hectares environ).

Sobriquet des habitants : « La fierralha » :  les gens fiers.

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Rallye village 8

Sur le plan historique et culturel, ce village fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXème siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607.
Sobriquet des habitants : « Los camas-negres » : les jambes noires »

Chapelle Saint-Lizier, construite par les paroissiens en 1913. Située à l’est du village en bord de la petite route qui remonte vers la D 939. Le texte inscrit sur le fronton de la chapelle explique à lui seul la raison de la construction de cet édifice. Remarquez la très belle calade de pierres locales pour y accéder.

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Rallye village 7

Village de 300 habitants à la riche histoire (il y avait 1200 habitants, il y a deux siècles!), qui tire son nom de «Bona hont» (bonne fontaine).

Le sobriquet des habitants « Los Putanèrs » : coureurs de jupons .

Le château était la propriété de Louis Henri de Pardaillan de Gondrin, marquis de Montespan.

Le 28 janvier 1663, il épouse la très belle Françoise-Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, après plusieurs années d’idylle et 2 enfants, (chaussée Marie Christine, morte à 12 ans, et Louis-Antoine, marquis et futur duc d’Antin, Louis XIV nomme une chaussée de Paris à son nom, c’est la d’Antin), elle devient une des dames d’honneur de Marie-Thérèse, épouse de Louis XIV.
Celui-ci en tombe très amoureux et en fait sa maîtresse en 1666 ; c’est « La Montespan ».

Son mari se retire désespéré dans son château et est resté célèbre en refusant tout ce que le roi lui offrait (une véritable fortune de 1 million de livres, puis un titre de duc). Il porte des attaques répétées contre le roi (il s’est présenté un jour devant lui et l’a insulté, ce qui lui a valu un emprisonnement, puis l’exil dans ses terres) et des moqueries (il avait organisé à dans son village « l’enterrement de son amour », avec tous les rites funéraires, dont une messe à l’église du village ; il avait également peint son carrosse en noir et l’avait orné à chaque coin du toit d’immenses bois de cerf, qu’il avait également ajoutés à ses armoiries de marquis).

En 1691, Louis XIV envoie Madame de Montespan dans un couvent pour la remplacer par Madame de Maintenon, gouvernante des 7 enfants qu’il a eus avec La Montespan, elle supplie son mari de la reprendre, qui refuse malgré l’amour qu’il lui porte encore.
Il décède dans son village, où il est enterré, le 1er décembre 1691, resté inconsolable de l’abandon de sa femme bien-aimée (il signait toutes ses lettres  » Louis Henri de Pardaillan, marquis de Montespan, époux séparé quoiqu’inséparable »).
La Montespan décède le 27 mai 1707.

En 1915, le château devient un camp d’internement pour prisonniers allemands. Il est ensuite transformé en collège.

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Rallye village 6

Au XIVème siècle est fondée une bastide par le seigneur de Villembits, fondation qui échoue semble-t-il puisqu’on ne retrouve presque rien de cette bastide sur le terrain.

Le village est resté jusqu’à l’époque moderne dans la seigneurie des seigneurs de Villembits, qui ont été à l’origine du peuplement de ce territoire.

Église Saint-Barthélémy 17°-18°siècle possédant un retable classé au patrimoine des monuments historiques depuis le 5 septembre 1984 et des fresques du 16° siècle.

Sobriquet des habitants: « Los pleitejaires » :les plaideurs les chicaneurs.

 

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Rallye village 5

Ce village fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre.

En 1852, les communes de …. et de ……. ont fusionné en une seule pour donner …-………

Sobriquet des habitants :  «Carretèrs de Lube» : charretiers, «ventejaires  de Bèthmont» : ventileurs.

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Rallye Trie

Petite bastide du XIVe siècle, Trie/Baïse a été créée à l’époque dans un contexte d’essor démographique et d’affirmation du pouvoir royal. Fortement touchée par les affres de la guerre de Cent ans, elle subit de nombreux pillages de la part des armées anglaises et françaises avant de connaître un âge d’or dans le courant du XVe siècle. De nouveau touchée par les conflits des guerres de religion, la commune connaîtra par la suite des siècles difficiles.

Église du XVe siècle, Notre-Dame-des-Neiges doit son nom à un signe divin, selon la légende. Les premiers habitants de la bastide se seraient réunis au milieu du XIVe siècle pour décider du lieu de construction, et la neige se serait mise à tomber en plein mois d’août, de manière à faire apparaître une croix sur le sol. L’édifice religieux présente encore aujourd’hui un impressionnant clocher, ainsi qu’une flèche de type gothique flamboyant culminant à 60m de hauteur.

Fondé dans la seconde moitié du XIVe siècle, le monastère des Carmes fut victime d’un incendie à la fin du XVIe siècle. Seule l’église, toujours présente aujourd’hui, résista à l’événement. L’église, de style gothique méridional, accueille un centre d’activités culturelles depuis les années 1990.

En vous baladant dans la commune, ne manquez pas d’admirer les vestiges de fortifications encore visibles comme la Tour Ronde ou la Tour Carrée des XIVe et XVe siècles. La mairie mérite également le détour, imposant édifice Empire avec, au rez-de-chaussée, une halle aux extensions de type Baltard.

Sobriquet des habitants : « Los ahumats », les enfumés ou plutôt ceux qui sont enveloppés par les brouillards de la vallée. Ou « Los pèla-l’ardit ou Pilha-L’ardit », les pèleliard, ou pille liard, c’est à dire les usuriers « .

 

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Rallye village 4

Fondation de la bastide en 1322, paréage entre le seigneur local Bernard de Castelbajac et le sénéchal de Bigorre Jourdain de ………. au nom du roi de France.
……….. : Création de 1326. Suivant le partage des terres à la mort de Bernard de Castelbajac entre 2 branches de la maison. Le ruisseau de Lagelle trace la limite entre ……… (au sud) et .. … (au nord).

Anecdote : A la révolution, une tentative de fusion entre les 4 villages voisins pour ne former qu’une seule commune qui se serait appelée Mont Républicain échoue. La fusion définitive des 2 sections date de 1842.

Château et Moulin de Janette (propriétés privées) furent élevé par Odet de Castelbajac entre 1460 et 1470.

Sobriquet des habitants : « escobassaires » : fabricants de balais.

Le long du mur du château, les propriétaires ont réalisé une superbe mosaïque.

Il fallut plusieurs années (de 2000 à 2003) pour réaliser cette œuvre, qui se lit de droite à gauche (en partant de la Création du Monde).

Big Bang

Lubret 15ème siècle

Contemporain

 

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Rallye village 3

Ici en Bigorre, l’eau est omniprésente en tous lieux et sous toutes ses formes. Lacs et torrents luxuriants – qu’ils soient Gaves, Adour ou Nestes – sources et fontaines abondantes dans et hors de nos villages, rigoles et canaux en tous genres mais aussi plus de trois cents lavoirs anciens ou récents ! Les lavoirs font partie intégrante du petit patrimoine légué par nos ancêtres et sont les témoins d’une époque révolue. Ils sont une richesse communale qu’il faut entretenir et conserver comme les églises, les fontaines ou tout autre monument bâti. Les lavoirs étaient des espaces de vie, bruyants et animés, lieux de femmes… ils sont devenus lieux de mémoire, silencieux et reposants. Alors, tous ensemble, essayons de sauver ce petit patrimoine collectif témoin de notre jeunesse. Jean-François Delétang

Ce village serait très ancien. On a découvert de nombreux ossements et sépultures ainsi que des grottes (sous certaines maisons du bourg). Vers 675, un évêque écossais, Romanus, installait une abbaye (un pilier subsiste dans une grange) qui dépendait de l’abbaye d’Airvault.
L’église Saint-Romain est romane, vouée à Saint-Sylvain, dont on peut voir la statue. Le clocher est surmonté d’un campanile, unique dans la région, qui est classé monument historique. Devant l’église se trouve une pierre plate sur laquelle on posait les cercueils lors des sépultures, avec un anneau pour attacher les chevaux.
Il y avait alors deux paroisses qui ont été rattachée au 17e siècle.
Sobriquet des habitants : « Los devociòs » : les dévots. « Caça-moscas » : chasse-mouches.

Le retable est attribué au sculpteur Marc Ferrère, grâce au testament du curé Paul Abadie daté du 11 décembre 1726. Celui-ci déclare avoir commandé par police et payé à l’avance, sauf la somme de 250 livres, dont il indique sur quels créanciers le sculpteur doit la récupérer. Ce retable, en très bon état, occupe le fond droit d’une étroite abside. Il se compose donc d’un seul panneau, ce qui est assez rare pour le retable du maître-autel, à cette époque, et il se présente simplement comme l’encadrement d’un tableau central.

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Rallye village 2

Ce village fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre.

Sobriquet des habitants : « Los Anglés » : les Anglais .

Sur la route entre Castex (32) et cette commune vous pourrez voir un poulailler de 1900 classé (privé), qui avait  les fonctions de porcherie et de pigeonnier.

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Rallye village 1

Cette chapelle se trouve à une centaine de mètres de l’endroit où était le château dont elle avait du être la propriété.
La statue de Saint-Roch aurait été sculptée dans un morceau de chêne ayant séjourné, selon la légende, plus de cent ans dans l’eau du ruisseau en contre bas de la chapelle.
Voici la légende qu’on raconte à ce sujet : Dans une circonstance malheureuse, disent les habitants du village, des gens maudits s’emparèrent de la statut de St Roch, la brisèrent et la traînèrent à coups de pieds au fond de la prairie d’Encausse. Quelque temps après arrive une peste qui désolait le pays. Tous les bestiaux mouraient, principalement les bêtes à cornes. On fit quelques remèdes, force invocations et des prières surtout ; mais rien n’arrêtait la peste. Enfin on attribua ce malheur à la vengeance de St Roch pour les mauvais traitements qu’on avait infligés à sa statue. Connaissant donc ou prétendant connaître la source du mal, on trouva de suite le remède : il s’agissait de calmer le courroux de St Roch le vindicatif. On alla en procession, en grandes pompes, au fond de la prairie Encausse, ramasser les divers débris de la statue mutilée et les porter fort respectueusement à la chapelle. Aussitôt la peste cessa.
Sobriquet des habitants : « La volurdalha » : engeance de voleurs.

Depuis la Chapelle profitez-en pour admirer le point de vue !

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Chasse aux oeufs

L’Office de Tourisme du Pays de Trie et du Magnoac vous propose différentes « géocaches », afin de découvrir les lieux représentatifs de notre territoire.

Le géocaching est un loisir qui consiste à utiliser la technique du géopositionnement par satellite pour rechercher ou dissimuler des « caches » ou des « géocaches », dans divers endroits à travers le monde.

https://www.geocaching.com/play

 

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